IN ILLO TEMPORE

En ce temps, fin de saison, il marchait seul par un coin de l’Ovalie - pas nécessairement celui-là où les ordures montent par les murs-, quand il s'est trouvé avec des dirigeants des pharisiens qui, en le voyant, ils l'ont interpellé, en lui exhibant de l’euro (peu), l’encens et la myrrhe :
- Viens avec nous à notre équipe, que nous avons un grand projet et laisse en arrière à ceux-là frustrés d'apôtres du rugby, que ton futur est un club plus important…
Comme il a pu il les a évités, bien qu’il ait enregistré leurs mots dans le cœur et il ne puisse pas cesser de penser que quelque chose de raisonnable il y avait. Mais au tour d'un coin il s'est trébuché avec un saducien d'accent étranger qui l'a incité tandis qu'il lui montrait des titres, études et graphiques :
- Viens avec nous à notre équipe, que nous avons un grand projet et laisse en arrière à ceux-là frustrés d'apôtres du rugby, que ton futur est un club plus important…
Comme il a pu il l'a évité, bien que ses mots en effet se sont enregistrées dans son cœur et il ne puisse pas cesser de penser que quelque chose il y avait de vrai. Et il allait vers la maison de sa mère à la recherche de son bon conseil, il s’est croisé toutefois la Madeleine habillée, il est un dire, pour sortir et elle séduisante l’a parlé :
- Vas avec d'autres à une grande équipe qu'aie de grands projets et laisse en arrière à ceux-là frustrés d'apôtres du rugby, que ton futur et peut-être le mien est dans un club plus important…
Comme il a pu il l’a évitée - avec ça qu'elle l'a envoyé au désert d'Onán sans contemplation-, bien que ses mots lui soient restées dans le cœur et il ne puisse pas éviter de penser que quelque chose, quelque chose, pouvait passer. Donc il s’est entré dans une accueillante ombre de taverne parce qu’il était assoiffé. Et là le diable, derrière la barre, l'a dit :
- Qu'est-ce que souhaites-tu ?
- Un gin tonic pas très chargé- il a répondu, en tombant dans une des tentations.